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Crise majeure, les réactions du grand public !
novembre - décembre 2013
Même si tous les gouvernements s'évertuent à cacher la réalité en trichant sur les chiffres, 2013 est l'année marquée par une récession mondiale sans précédent. Nul doute que l'année 2014 en sera la continuité aggravée - voir. L'on subira, surtout en Europe, l'assèchement prononcé de l'économie réelle en phase de déflation - pour corroborer notre analyse, voir la vidéo-interview du chef économiste de Saxo Bank ajoutée le 20 décembre 2013. Cet état de dessèchement de l'économie mondiale est la résultante de la principale planification élaborée dans les années 1980 par le cartel du véritable pouvoir mondial. L'on assistera à :
1- La poursuite de la baisse générale de l'activité économique au cours des prochains trimestres, caractérisée par la baisse marquée de la consommation des particuliers, en Europe notamment en Italie, en France, et aux États-Unis - voir cette vidéo.
2- Effets marqués de la ponction fiscale entreprise depuis 2008 par la majorité des pays européens du Sud,
dans un contexte de prix de vente élevés d'une majorité de produits de consommation courante, surtout en France.
3- Perte accentuée du pouvoir d'achat pour le plus grand nombre - stagnation et baisse des salaires, des prestations sociales, situation de chômage et d'exclusion sociale grandissante.
4- Une baisse notoire de l'investissement et le recours massif à de la main d’œuvre à bas coût issue des pays de l'Europe de l'Est, aggravant d'autant le niveau de chômage et la situation financière des entreprises des pays européens plus riches, France, Italie...
5- Une série ininterrompue de fermetures délibérées et de faillites d'entreprises, notamment de petites structures, tous secteurs d'activité.
6- De nouveaux plans ininterrompus de licenciements partout en Europe, dans une moindre mesure aux États-Unis.
7- De sévères restrictions de la part des pouvoirs publics pour l'usage de liquidités dans la vie courante,
sous prétexte de limiter le travail non déclaré et le blanchiment d'argent. D'ores et déjà les achats en espèces sont limités à 1000 € au lieu de 3000 €. En avant-première, l’État d'Israël supprime
l'usage d'argent liquide le remplaçant par une monnaie électronique, ce qui facilitera le contrôle de la population.
8- La baisse brutale de tous les actifs boursiers.
9- L'assèchement quasi total de l'économie de terrain en Europe à partir du deuxième semestre 2015, doublé cette fois d'une baisse générale des prix de vente, tous produits, tous circuits commerciaux, mais stérilement car dans un contexte économique atone.
10- La chute de pans entiers de l'économie.
11- La désorientation des gouvernements ne sachant que faire à cause de la tournure des événements.
12- La possible mainmise des gouvernements sur l'épargne des gens - voir - février 2014 "La spoliation s'organise à votre insu, braquage à l'européenne " - août - octobre 2013 - "Particuliers : gare à vos économies".
13- Un accord international organisé par les principales organisations supranationales proposant de solutionner tous les problèmes sociétaux : économie, finance, social, environnemental - voir le plan planétaire en 3 parties.
14- S'ensuivra une période d'hyperinflation consécutive au chaos économique et social généré par cette déflation persistante qui s'étendra à tous les autres pays européens du sud et du nord.
15- Une inflation extrême des prix, imprévisible, échappant à tout contrôle, impactant les produits de première nécessité, semant la confusion, jusqu'à provoquer la panique d'être privé du nécessaire vital.
16- Une situation de totale confusion consécutive au chaos social qui ne concernera pas seulement des pays lointains. Situation qu'il était possible jusque-là de voir évoluer au cours de la diffusion de journaux télévisés, mais qui cette fois affectera sa ville, son quartier, sa rue, son coin de campagne...
La tendance générale
La crise est profonde, si profonde, que la tendance générale ne consiste qu'à la subir passivement sans chercher à en comprendre les causes réelles et toutes les conséquences matérielles et humaines à très court terme. Si l'on s'inscrit durablement dans cette disposition d'esprit, il est inutile de poursuivre la présentation de notre site.
En période de crise de la zone euro, la majorité des gens trouve que l'information sur l'économie est trop complexe et qu'il s'agit d'un milieu opaque. À l'heure d'un bouleversement sans précédent, est-ce une raison pour ne pas en savoir plus ?
Sur le fond, un nombre grandissant de gens, y compris les plus indifférents à l'évolution de la situation mondiale, s'interrogent sur le devenir de l'économie mondiale, de leur emploi, de leur retraite, de leur épargne, de leurs enfants... Au fil des jours, l'inquiétude grandit et ils se demandent à quoi les individus, les peuples, seront bientôt confrontés.
Au-delà de ces sentiments légitimes, la grande majorité n'a pas la connaissance de l'origine, du pourquoi, ni de l'aboutissement de l'actuelle crise économique majeure.
Car malgré l'accessibilité à des informations spécialisées, l'individu, même s'il est curieux et perspicace, ne dispose pas de tous les éléments nécessaires pour comprendre le sens du déroulement de la scène mondiale qui se joue depuis les années 1980.
En cause - 1 - la masse d'informations émises chaque jour qui saturent l'esprit. Par exemple, un Nord-Américain lisant le New York Times accède à plus de nouvelles en 24 heures qu'un Anglais du dix-huitième siècle tout au long de sa vie.
En cause - 2 - l'absence de liens fiables entre tous les événements marquants l'histoire du vingtième et du vingt et unième siècle. D'où l'absence d'indicateurs précis, de repères authentiques, pour ceux désireux de comprendre la marche chaotique du monde, en tirant le vrai du faux.
En cause - 3 - le désintérêt des individus, l'absence de curiosité, d'attention, à s'intéresser aux racines, à l'origine, des difficultés sans précédent qui accablent les peuples et les nations.
En cause - 4 - ou inversement, le sentiment, l'assurance de pouvoir appréhender par soi-même, ou par médias, blogs, interposés, la nature profonde et l'évolution de la crise majeure au plan mondial.
En cause - 5 - la confiance dans le système, en se disant que l'État et les institutions supranationales (FMI - Banques centrales - Union européenne - ONU - OMC - OMS...) finiront bien par trouver une solution de sauvegarde, et de surcroît assureront un renouveau sociétal.
En cause - 6 - l'incrédulité des gens. Un constat qui était évident pour J. Edgard HOOVER, l'ancien patron très expérimenté du FBI, de 1924 à 1972, " L'individu est handicapé en se retrouvant face à une conspiration si monstrueuse qu'il ne peut croire qu'elle existe ".
En cause - 7 - le complotisme. Toute explication relative au mondialisme qui sort du circuit officiel est considérée par une majorité de gens comme subversive. Le prétexte tout trouvé pour ne pas vouloir approfondir la nature du mouvement qui de toute évidence sape et manipule la société humaine.
Pour le grand public, il n'y a donc aucun moyen de comprendre la vraie nature du mouvement insidieux qui opère à l'arrière-plan de la scène mondiale, puisque tout a été organisé subtilement pour que les gens soient désinformés. De la sorte, ils sont décalés du cours des événements et restent dans l'ignorance de tous les sujets déterminants pour le présent et pour le devenir de la société civile, à leur entier détriment.
Nous avons pu contourner cette obstruction, ce cloisonnement, donc la profonde méconnaissance qui en résulte, par le moyen d'une enquête très approfondie. Elle a nécessité cinq années d'investigations pour éclairer ces sujets essentiels.
Le style d'écriture de notre site, de nos livres est simple, à la portée de tous. Partie livre : une centaine de vidéos, un grand nombre d'illustrations, de citations clés, de très nombreux liens internes, externes, complètent les explications et favorisent la compréhension d'ensemble.
De la part du lecteur, il va falloir accepter de produire un petit effort pour assimiler un récit complet, puissant, diversifié et très précis de nos livres.
En fait, il n'y a que deux possibilités qui s'offrent à chacun d'entre nous : soit se fier aux médias ou à son entourage, soit à son intuition. Où bien, saisir l'opportunité de prendre connaissance de notre investigation pour savoir vraiment, de façon intelligible, tout ce qui se tisse dans les coulisses du mondialisme. Ce qui par ailleurs ne peut se percevoir, supposer, ni se concevoir !
Il est utile de se reporter à la réaction d'un grand personnage contemporain, Winston CHURCHILL. En temps de guerre, ou en temps de paix, partout où il allait, il observait comme aujourd'hui le comportement irrationnel, indifférent, inattentif, irréfléchi, des gens.
Le petit nombre de ceux qui cherchent des éléments de réponse de site en site, de blog en blog, doit se contenter de trouver ici et là des informations éparses sur le mondialisme et le délitement du système. En sondant les commentaires qu'ils laissent sur ces sites, l'on peut en conclure qu'ils n'ont aucune connaissance d'ensemble de ce sujet essentiel. Ils ignorent ce qui se passe au-dessous de l'échiquier de la scène mondiale. Surtout, ils n'ont pas la moindre idée de l'avenir que leur prépare le cartel mondialiste du gouvernement de l'ombre.
Pourtant il existe, tel un petit ruisseau d'eaux limpides formant au bas de la vallée un grand lac bleu, des sources d'informations fiables. Il suffit d'en prendre connaissance pour avoir une vue d'ensemble en matière de mondialisme et de manipulation du monde. Cela est d'autant plus crucial que l'avenir de la civilisation est engagé à très court terme.
"Tous les êtres humains trébuchent un jour sur la vérité, la plupart se relèvent rapidement, secouent leurs vêtements et retournent à leurs préoccupations, comme si de rien n'était " disait CHURCHILL.
Finalement, nous concluons avec lui que la très grande majorité des individus écarte toute opportunité d'en savoir plus. Qu'ils ne cherchent aucune occasion de saisir le sens de l'évolution des
évènements mondiaux.
Par la suite, il déclara "Mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par la gorge".
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