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Quelle sera la phase ultime de la crise majeure ?

26/02/15

 

 


 

Pris dans le contexte d'une crise économique sans issue, le grand public ne sait pas ce qui s'organise à l'arrière plan. L'ONU, institution supranationale, a établi un programme d'unification de l'ensemble des religions pour le millénium. Ceci répond à une exigence d'unification, tant économique, financière, qu'environnementale et spirituelle, du cartel de la véritable gouvernance mondiale.

 

Si ce programme d'unification pour le millénium n'a pas pu aboutir jusque-là, il n'est abandonné pour autant. La montée en puissance du danger sociétal de l'Etat islamique, surtout l'obstacle qu'il représente pour les objectifs universels du Cartel, sera l'élément déclencheur pour une intervention radicale du bras armé de l'ONU visant à soumettre l'ensemble des religions à adopter un culte unique.

 

 

 

Le 28 août 2000, le sommet du millénaire pour la paix dans le monde, première réunion de ce genre jamais organisée par l'ONU, a réuni un millier de décideurs religieux de toutes les religions du monde, excepté le Dalai Lama, empêché  par la Chine. Pour le représentant du Conseil œcuménique des Eglises - COE - c'est "Un nouveau pas" dans l'indispensable définition du rôle de la société civile dans un nouvel ordre mondial. Le COE qui entretient des relations avec l'ONU depuis des années approuve les valeurs et les objectifs fondamentaux de l'ONU, tout en exprimant les préoccupations communes des Eglises membres. Sachant que depuis quelques années, les milieux économiques et politiques manifestent plus d'intérêt pour les points de vue des chefs religieux.

 

Les objectifs communs des chefs politiques et des leaders religieux portent sur un nouvel ordre mondial ayant une base plus large que celle des Etats-nations. Les chefs religieux coopéreront plus intensément avec les travaux des Nations Unies, sur une base permanente, au niveau international, régional, local, pour établir la paix dans toutes ses dimensions. Source.

 

L'instauration d'un nouvel ordre mondial, ou création d'un gouvernement mondial, est appelée de tous les vœux par les principaux chefs religieux du monde. Il nécessite forcément une religion mondiale unique, ce qui n'est qu'une simple extension du programme de globalisation appliqué jusqu'à présent à l'actuel système économique et financier.  Le Pape Jean-Paul II,  le Pape Benoit XVI et l'actuel Pape François ont soutenu la nécessité d'un nouvel ordre du monde. Ce dernier, lors du concile Vatican II, a décidé d'entamer un dialogue, un rapprochement, avec le judaïsme, renversant ainsi l'attitude traditionnelle de l'Eglise depuis Pie XII qui demandaient aux juifs de se convertir au catholicisme et de reconnaître le Dieu trinitaire. Ceci s'inscrit dans une toute nouvelle ligne d'assemblée parlementaire ecclésiastique mondiale.

 

Le Congrès des religions mondiales et traditionnelles siège à Astana au Kazakhstan depuis l'an 2000, au sein d'une "pyramide dite de la paix". L'objectif est de valoriser "le rôle des religions pour l'unité de la famille humaine". Il s'agit de l'instauration du socle pour une religion universelle, proche de sa finalisation, sorte de tour de Babel moderne.

 

 

 

Face à l'extrême gravité de la situation mondiale, pour préserver prioritairement tous les intérêts fondamentaux de la Terre et ceux de la société humaine, il y a absolue nécessité d'établir un consensus international pour la mise en oeuvre de toutes les modalités de la Charte de la Terre. Celui-ci doit regrouper toutes les instances politiques, sociales, environnementales... et religieuses, du monde. Ces dernières sont toutes acquises à cette noble cause, notamment la chrétienté, à l'exception de l'Etat islamique et d'une minorité de mouvements religieux. C'est pourquoi l'ONU, n'ayant d'autre alternative, organisera avec une majorité de nations une vaste campagne armée, au plan mondial, contre les récalcitrants pour les soumettre ou les empêcher de nuire à la pleine réussite de ce consensus universel. Cette action armée, sans précédent, sèmera trouble, désorientation, confusion, parmi tous les intervenants et spéculateurs de la finance internationale et provoquera la chute de l'ensemble des places financières et du système monétaire mondial.